il faudrait des prêtresses lumineuses dans des habits translucides
avec des vérités plein la langue
qui vendent de l'authenticité dans des pubs décolletées
des fragments de pureté emballés comme des chocolats
manufacturés dans l'amour simple qu'on offre aux enfants
des armées de gourous inoculés des atomes du premier souffle
qui fracassent d'affection le dogme des chiffres
que l'on suit nus dans la poussière du jour
vers une liberté muette, vraie comme le sang
qui s'explosent le coeur comme meurent les étoiles
Une langue, des décolletés, du chocolat. Un souffle, de l'affection. Des nus, du sang, un cœur. On s’approche doucement …
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